Lettre info automne/hiver 2022

Bonjour,

Pour cette dernière lettre de l’année, recevez d’abord mes salutations chaleureuses en vous souhaitant beaucoup de joies, d’énergie et d’optimisme.

Notre dernier séjour au Nicaragua remonte â 2019, l’échange d’information par contre s’est intensifié par Internet. Si nos activités pour financer le projet éducatif se limitent désormais à la FOIRE AUX LIVRES, celles de nos amis nicaraguayens nous surprennent toujours par leurs innovations éducatives et leur constante envie d’améliorations.

Les deux fêtes du maïs, organisées par le CDI et le DMMT ont connu un immense succès et ont permis des améliorations de l’infrastructure. Cette année, quatre des jeunes parrainés de INTI viennent de passer leur baccalauréat et vont continuer leurs études.
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Nous étions aussi très heureux d’apprendre que Brisamar qui a passé le bac il y a deux ans s’est distinguée à deux reprises comme meilleure étudiante de sa branche à l’université UCA.
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Cette année encore, les cours de français ont continué et une fête de la francophonie a eu lieu.

Les jeunes de l’Angelita se sentent beaucoup mieux intégrés dans le projet. L’assistance était plus régulière, même si plusieurs devaient aussi accomplir d’autres tâches dans leurs familles.

Nous n’avons pas encore lu le rapport d’activité des centres, arrivé il y a quelques jours et que nous allons résumer dans le prochain courrier.

Mais rappelons que tous les enfants sont aussi suivis sur le plan médical par des vaccinations, contrôle de poids et de taille et une alimentation saine (aussi avec les produits du potager scolaire.


 Une autre bonne nouvelle de cette année était la reprise des activités de la Casa Comunal (maintenant Casa de Cultura et géré par la Mairie de Chinandega) (voir sur le site)

Il y avait aussi des élections municipales, presque toutes gagnées par des candidats sandinistes.

Il faudrait aussi parler de l’augmentation de l’émigration. Longtemps, le Nicaragua avait été épargné, contrairement aux pays voisins Le Honduras, le Guatemala et le Salvador.

Il y a à cela plusieurs raisons. L’ouragan qui avait dévasté tout le pays et détruit les récoltes, les entrepreneurs qui profitent de la crise pour réduire les salaires et augmenter leurs exigences, les réseaux sociaux qui font miroiter une vie meilleure ailleurs et sans doute aussi le contexte politique.

Les activités sont toujours aussi nombreuses. Voici quelques exemples en images:
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Nous serions heureux de connaître vos intérêts, vos suggestions…

En attendant, nous vous souhaitons des fêtes de fin d’année paisibles et joyeuses.

Cordialement Ruth