Chinandega

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jeudi 1 novembre 2012

Nouvelles de Chinandega

– Centre social de quartier « Casa comunal San Cristobal » et coopérative COMUCRIS

Evolution du projet, un an après notre visite de 2011 et après ma conversation vidéo téléphonique (grâce à Skype) avec Humberto (Beto) Alvarado du 19 octobre 2012 - par Joseph Mougel, trésorier de INTI,

--- Nous sommes allés au Nicaragua, Ruth, sa sœur Heidi, et moi-même en août/septembre 2011 et je vous en ai fait le récit en vous exposant ma vision de la problématique à affronter par la « Casa comunal San Cristobal ».

Voici, selon moi et après ma conversation avec Beto, où nous en sommes aujourd’hui.

Rappel : de la « Casa comunal » à la coopérative COMUCRIS – les espoirs mais aussi la problématique soulevés par une telle évolution

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La situation des enfants travailleurs à Chinandega

Par Jorge Luis Salinas

Dans le quartier Roberto Gonzalez dans lequel se trouve la Casa comunal San Cristobal, maintenant coopérative Comucris, on voit surtout des enfants qui vendent des tortillas, du pain ou d’autres marchandises.

D’autres travaillent dans des ateliers de réparations de motos ou pour laver de voitures.

Il y en a qui accompagnent leurs parents pour vendre du bois ou aident dans différentes activités. Ces enfants vont néanmoins à l’école et ne sont pas exploités

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mardi 25 octobre 2011

Chinandega - récit de Joseph

Chinandega – La Casa comunal San Cristobal du quartier Roberto Gonzalez transformée en coopérative multiservices en novembre 2009 – le cybercafé en fonctionnement – Récit de Joseph Il y eut deux séjours à Chinandega ; un premier où nous fûmes trois, Ruth, Heidi et moi et qui a duré trois jours ; un second où je suis retourné seul du mardi au vendredi de la dernière semaine.



bicitaxi


Pour ces deux séjours nous fûmes accueillis à nouveau chaleureusement dans la famille de Ermelinda, une vieille amie de Ruth puisqu’elle fut la première personne qu’elle avait rencontrée lors de son premier voyage en 1986. Ermelinda était alors, à la fois, une militante sandiniste et du mouvement des femmes AMLAE. Pour gagner sa vie, elle vendait des fruits et légumes sur le marché de Chinandega ce qui l’obligeait à aller une fois par semaine en pleine nuit avec un camion chez un grossiste à Managua à 130 km de là. Elle avait alors une maison en dur, mais sommaire comme la plupart des maisons du quartier. En 2008, nous avions déjà observé une amélioration de sa maison et une extension par sa petite-fille après que celle-ci ait fait un séjour d’un an à Saragosse en Espagne pour s’occuper d’une personne âgée. Cette amélioration s’est poursuivie depuis grâce, notamment à Argentina, fille d’Ermelinda, qui a aménagé dans la maison son cabinet d’avocat avec son ordinateur et son accès et internet, grâce aussi au compagnon d’Argentina, vice-recteur d’une université de la ville. Ermelinda âgée de 74 ans ne va plus au marché, mais a un petit revenu en louant 3 vélos-taxis dont on voit un grand nombre dans la ville.

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