Écrire les deux jours passés à Ometepe, c’est se replonger dans ce calme, cette verdure mystérieuse sous laquelle on sent les traces d’une civilisation perdue. C’est un lieu où les temps se croisent, le lointain avec le présent. Je m’aperçois que je n’ai pas pris des photos des volcans, seulement la végétation. Parce qu’une petite toile reflète mieux ce merveilleux paysage ? Parce que mon regard se pose plus facilement sur les choses simples ?
peinture de Salvador Guillén